Date:15/1/2

Recherche Google

Juste un fantôme...

Menu


21/9/1 C'J

13/2/1 Selfie / 3




"Si tu veux me fuir, je te rattraperais.
Si tu veux me nuire, tu ne pourras pas t'échapper."

14/1/1 Spotify / 1

<< xXx - "I call her trouble
She knows exactly what she's doing to me
Oh, I'm in trouble

The moment I met her, oh, I could not believe
How sweet trouble could be

What can I say
Couldn't give her up if I wanted to
She's got her ways
To make all her wishes come true

She's gonna be the death of me >>

---0:57 _______________________ - 1:37

9/10/0 Selfie / 2



"J'dois t'oublier si j'veux guérir d'mes blessures j'crois
T'étais ma drogue, j'ai tiré un trait sur toi
J'dois t'avouer qu't'es l'une des filles que j'estimais le plus
Mais c'est triste j'te l'dis chérie
T'existes plus"

26/7/0 Lettre ouverte / 1

A toi.

Tu n'es pas partie. Tu t'es enfuie.
Tu n'as pas pris la porte, tu t'es volatilisée sans que je ne puisse rien y faire.
As-tu jeté un regard en arrière ? T'es-tu arrêtée quelques secondes, l'esprit divaguant vers ce que tu laissais derrière toi ?

J'ai souvent eu le sentiment que tu m'avais abandonné
J'ai été de ceux dont la fureur vibrait, ceux dont l'incompréhension consumait tellement qu'elle en aveuglait le reste.

Je t'ai cherchée partout.
Dans chaque rue, dans chaque coin d'avenue, dans chaque commerce que je trouvais. On me prenait pour un fou, à sortir du matin au soir, à veiller dans les bars, muet, dans l'espoir de croiser ton visage. Mais tu n'étais plus dans cette ville et seul ton fantôme m'accompagnait partout où j'allais. Certains jours, l'esprit embrumé par l'ivresse de ne plus te trouver, je gisais au sol à côté d'une bouteille remplie des larmes que je n'arrivais pas à verser.

Moi qui t'avais tant aimée, j'ai fini par laisser la haine m'emplir.
Je t'ai détestée.

Je t'ai détesté comme je m'étais toujours détesté.
Je t'ai haïe aussi fort que je t'ai aimée et pendant un long moment la haine que je te portais n'avait plus aucune différence avec l'amour que je ressentais.

Les deux étaient les mêmes et les deux m'étouffaient.
Je t'ai aimée à en perdre le souffle, et ton départ m'a asphyxié.

- Une pluie d'adieux