Date:3/6/2

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21/9/1 L'axolatte

*******************************L'axolatte



Petit animal de compagnie très prisé pour son côté "mignon" par les élevages et boutiques animalières à Sétia, Begy, Tegdij et Vésén, l'axolatte demande cependant beaucoup de soins et d'attention de la part de ses maîtres, surtout lorsqu'il est élevé en aquarium. Il est le cadeau "idéal" que tous parents offrent à leurs enfants, avant que la réalité d'un aquarium qui doit être nettoyé chaque jour, une alimentation variée ainsi que de nombreuses maladies touchant le petit animal ne s'imposent aux jeunes maîtres.

Les motifs et colorations des axolattes se déclinent dans toutes les variétés de boissons caféinées.

Les origines de l'axolatte sont inconnues (probablement une des îles encore peu connues du continent), mais son commerce depuis de nombreuses années l'a introduit aussi bien à Sétia qu'aux autres villes où résident de nombreuses familles avec enfants. Il n'est trouvable à l'état sauvage que dans les régions tempérées où son abandon systématique par des maîtres peu scrupuleux lui a permis de se développer à foison, mettant à mal les écosystèmes déjà présents.

L'axolatte préfère habiter les eaux souterraines, mais il n'est pas rare de les voir émerger de leurs grottes et cavernes lorsqu'ils se mettent en chasse de leur repas de poissons et d'insectes. De nature farouches, ils peuvent cependant être approchés par les plus patients des zoologistes / randonneurs / amoureux de la nature avec un peu de persévérance, mais surtout avec l'emploi continu de la technique experte du "doigt agité comme un ver de terre bien juteux".

L'axolatte a une espérance de vie à l'état sauvage d'environs 8 ans.
En captivité, l'espérance de vie ne dépasse pas les 2 ans.

Enfin, à Vésén, la viande d'axolatte est un amuse-bouche proposé dans de nombreux bars et restaurants.


Création de Cardya

21/9/1 Le Pizavévu

*******************************Le Pizavévu



Petits oiseaux qui ont longtemps été considéré comme de gros insectes, le Pizavévu est pourtant bien un oiseau.
Pour cause, ses quatre ailes translucides battent si vite qu'on ne les voit pas à l'oeil nu lorsqu'ils volent.
C'est un acteur principal de la biodiversité woltarienne, le Pizavévu se nourrit de nectar et de pollen et par son butinage de fleurs en fleurs permet à la nature de se renouveler et se reproduire.

C'est un oiseau qui ne chante pas et sort majoritairement au crépuscule et à l'aube, là où la lumière des soleils est encore assez faible pour que ses prédateurs diurnes aient des difficultés à le voir.
Ses prédateurs nocturnes ne seront déjà plus entrain de chasser.

On le remarque à sa longue trompe qui s'illumine d'une jolie couleur orange lorsqu'il récupère le nectar des fleurs. Une trompe étrange rétractile qu'il cache derrière son petit bec blanc le reste du temps.

D'un naturel craintif et silencieux, il n'a jamais été domestiqué par les woltariens.
Les biologistes continuent d'étudier le petit oiseau et ses comportements sociaux pour comprendre comment est-ce qu'en l'absence de chant, un Pizavévu peut renseigner à un autre un champ de fleurs, des prédateurs à éviter et divers autres messages.

Son plumage est composé de toutes petites plumes en nuance de gris. Les oeufs du Pizavévu ont la même couleur (et forme) que de petites patates douces woltarienne.

Signe de chance à Tropico, il est vu comme le symbole du travail à Sétia. Une université Sétianne l'a même pour écusson. Les woltariens ont parfois cru que la présence de Pizavévu en nombre certains soirs était le présage de violents orages à venir dans la nuit et le lendemain.

On recense les plus grandes hordes de Pizavévu à Vésen et Tropico, c'est une espèce protégée à Sétia et Bégy où il fait l'objet de nombreux projets pour la sauvegarde de son espèce et des espaces verts nécessaires à son bien-être.


Création de Black_Heart - Représentation IA (Canvas)

21/9/1 Le Pelavet

*******************************Le Pelavet



Reconnaissable entre milles, cet oiseaux originaire de Sétia subit l'urbanisation de la ville et voit ses populations se réduire de dizaines d'années en dizaines d'années.

Grand oiseau noir, le Pelavet a une envergure d'ailes de 170cm, haut de 65cm, et un gros bec coloré incurvé de 15cm.

L'oiseau nourrit de nombreuses légendes autour de lui.
Son plumage noir jure avec les couleurs chatoyantes de son bec qu'il arbore.
Des Pelavets de même famille partage la même couleur de bec et les mêmes irisation à quelques détails près.

Intelligent, débrouillard, très peu peureux du Woltarien, le Pelavet fut un temps vu comme un nuisible et un messager de mauvais présage et de malheurs.
Son apparence effrayante par le noir de son plumage et son envergure impressionnante ailes déployées le desservent auprès des woltarions et de nombreux auteurs et autrices de livres pour petits ont reprit l'image du Pelavet pour symboliser de grands méchants.

Allant jusqu'à romancer les grands rites nuptiaux et funéraires auquel cet oiseau social s'adonne.
Vivant en volée, les Pelavets, lorsqu'ils perdent un membre de cette même volée, sont connus pour exécuter autant un chant spécifique funéraire en canon (créant un véritable brouhaha de bruits mélodiques), tout en s'adonnant à des vols de groupes acrobatiques non loin de la dépouille avant de l'abandonner.
C'est un oiseau qui s'accouple toujours au même partenaire avant de se quitter, laissant à la volée le soin de couver les oeufs, d'élever les petits Pelavets sans distinctions d'enfant ou de liens de sangs.

Si on ne voit pas les couleurs du Pelavet quand on en croise à Sétia, il faut s'armer de patience et tenter l'aventure de les découvrir non loin de leur nid pour les voir hérisser leurs plumes, montrer la naissance colorée de ces dernières et entonner leur vol dansant pour trouver leur partenaire jusqu'à s'accoupler.
Peu importe qu'ils ne changent plus de partenaire de toute sa vie, le couple continuera d'exécuter ces grands vols acrobatiques impressionnants pour se séduire chaque année.

Les naissances des plumes noires peuvent être cuivré, bleu cobalt, vert émeraude, jaune or, blanc crème (qui donne l'illusion d'un Pelavet "vieillissant") et mauve clair.

A l'instar de leur bec qui peut revêtir tout un tas d'irisation et de mélanges de couleurs, leur plumage ne prend qu'une seule couleur à la naissance des plumes qu'ils exposent et cachent en fonction de leur grand numéro de séduction.

Terriblement intelligent, le Pelavet sait se servir de petits outils pour trouver sa nourriture et s'est habituée à la présence woltarienne autour de ses nids et de son environnement.
Pourtant les volées de Pelavet ne cessent de se réduire, de produire et de couver moins d'oeufs et de rencontrer de nombreuses difficultés à élever tout les jeunes jusqu'à l'âge adulte.

Il se nourrit s'insectes, de fruits, de graines et parfois en hivers, des campagnes de sensibilisations sont lancées pour amener les Sétians et Sétiannes à accrocher des petites boules de graines et de gras dans leur jardin ou à leur balcon pour les Pelavets en quête de nourriture.

Son cri est gros "KRWOUAK" bien loin des intonations mélodieuses qu'il peut pousser lors d'un chant funéraire.


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21/9/1 L'Harièk

*******************************L'Harièk



L'Harièk, un animal fétiche à Bégy souvent célébré pour sa signification bénéfique et positive à bien des niveaux.
L'animal avait un corps robuste et trapus, un épais cou musclé, une tête rappelant celle d'un Kirkegaard plus fine et plus racée, un museau épais finis d'une petite barbiche bariolée. Sa tête était surmontée de deux pairs d'oreilles effilées qui s'agitaient sans cesses pour capter les sons tout autour de lui, l'animal étant connu pour être quasiment myope. Pour finir son imposante stature, la tête de l'animal était entourée de cornes enroulées sur elle-même qui lui conférait naturellement un port de tête hautain et un petit quelque chose de royal. Les sillons des cornes étaient souvent parcourus de la même couleur que la barbiche de l'animal, lui conférant un aspect tout aussi précieux puisque la résine colorée qui se créait dans ses cornes à force de grandir était sujet à de multiples convoitises.
La fourrure de l'animal est cotonneuse en hiver, épaisse et chaude bien qu'un peu rêche si on ne la travaille pas, en été elle demande à être tondu au risque d'étouffer l'animal ou de le faire souffrir de la chaleur.
Ses pattes avants sont puissances et ses sabots sont fendues de trois doigts qui lui permettent d'escalader montagnes et pics rocheux sans difficultés. Un ergot saillant se trouve derrière chaque patte, arme avec laquelle le Harièk se défend et défend sa famille et compagne.
La femelle aborde une queue toute ronde, touffue qui surmonte sa croupe, tandis que le mal s'en retrouve dépourvus.
Bien qu'étant un animal qu'on représente presque toujours seul, l'Harièk vit en horde à l'état sauvage avec un couple qui dirige la horde et assure son équilibre tant physique (trouver de la nourriture, guider la horde, assurer leur protection) que mental au travers de geste d'empathie et de compassion dont font preuves les Harièk entre eux. On pense à tort que les Harièk mâles sont polygames et se créent un harem au travers de la horde dont ils font partie ou qu'ils créent: rien de tout cela n'est vrai. Des cherchers en ethologie Woltariennes ont prouvé que l'Harièk est fidèle à sa femelle avec lequel il choisit de s'accoupler et ainsi de procréer. Il n'est pas rare de voir des Harièk mâle ou femelle s'arrêter simplement de se nourrir ou de quitter leur horde familiale pour veiller sur le corps de leur partenaire tout juste décédé.
Le deuil chez les Harièk fait encore sujet de pleins d'études diverses et variées.
Les femelles arborent des fourrures comme "ciré" naturellement par la sécrétion de la résine coloré de leur corne qu'elle se répartisse sur la fourrure en se frottant de longues heures aux arbres, rochers et autres supports solides sur laquelle elles peuvent abîmer les sillons de leurs cornes pour ensuite répartir la couleur.

L'Harièk est devenu symbole de justesse, de famille, de regroupement et même dans sa représentation fausse d'animal solitaire, il est l'image d'un coeur fort aimant. De par sa myopie, les Harièk se retrouvent souvent dans de spectaculaire combat où ils se foncent dessus, corne en avant ou cherchent à se blesser mortellement à l'aide de leurs ergots dans des ruades incroyables. Il est alors symbole de force, de courage et de détermination.

Bien trop petit pour participer à des rodés de Vésen, il est surtout élever pour sa viande, sa fourrure et sa résine colorée. On ne trouve que quelques hordes encore sauvages d'Harièk dans des espaces protégées ou inexploité par les Woltariens. La plupart sont donc apprivoisés et vivent dans des hordes créer de toutes pièces par leur éleveur pour assurer leur bien être et bon équilibre.


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21/9/1 Le Phluut d'Eupaon

*******************************Le Phluut d'Eupaon



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